Les agences immobilières sont souvent à la recherche d’excellentes opportunités où elles peuvent acheter à bas prix pour ensuite revendre et obtenir une marge aisée. Si vous en faites partie, lisez dans cet article les quartiers et les villes où les prix des biens immobiliers flambent et au contraire, où ils se retrouvent victimes de la crise sanitaire.
Les endroits les plus faramineux pour les millionnaires
Dans des cités comme Brest, Calais, ou encore Angers, les transactions immobilières ont augmenté de 10.1 à 12 % rien qu’en un an. À Roubaix, Versailles, Saint-Nazaire et Argenteuil, les prix culminent encore plus haut.
Après avoir effectué une petite comparaison de la valeur du mètre carré dans ces zones géographiques, les analystes sont arrivés à une hausse moyenne de 4.7 % pour les bâtiments anciens. Par contre, si vous envisagez d’acheter une nouvelle maison, si l’année dernière il coûtait 623 euros environ à Anvers, aujourd’hui, elle atteindrait les 640 euros, avec une hausse de 2.7 %.
Il en va de même pour Paris sans toutefois dépasser le cap des 10 000 euros.
Les opportunités à saisir et qui pourraient rapporter
Il existe toutefois à côté de ces chiffres qui font peur des communes où il est possible de faire de bonnes affaires comme à Poitiers où la baisse du prix de la pierre est à son paroxysme, c’est-à-dire -12.5 % suivi de près par Nîmes -8.2 % puis de Limoges 4.1 %.
Des experts comme Michel Lechenaul affirment que ce ne sera pas toujours ainsi. Marseille représente également une mine d’or pour les promoteurs qui y obtiennent un bien immobilier au même prix que partout ailleurs en France alors que dans cette grande métropole au potentiel économique élevé avec son port, la présence de grandes entreprises, et son climat des plus agréables. À la relance, les experts affirment que les investisseurs d’aujourd’hui auront tout à gagner dans quelques années.